Le week-end dernier, Le nouveau chef d’État américain, Joe Biden a successivement téléphoné, Le premier ministre Canadien, Justin Trudeau, Le premier ministre Anglais, Boris Johnson et le président Mexicain,Andrés Manuel Lopez Obrador afin de discuter des grandes priorités telles: COVID19, Changement climatique, libre échange etc…
Le premier ministre Canadien, Justin Trudeau et Joe Biden ont eu vendredi dernier une conversation téléphonique chaleureuse, ils ont décidé de se rencontrer le mois prochain. Le Canada et les États-Unis ont un grand potentiel de partenariat à L’ère Biden ,en particulier, lorsqu’il s’agit d’une vision commune de la lutte contre le changement climatique tout alimentant la croissance économique.
Selon la presse Britannique, Boris Johnson est le premier chef d’État européen avoir les honneurs d’un appel du nouveau locataire de la Maison Blanche. Le samedi 23 janvier 2021, Le premier ministre Anglais et Joe Biden ont convenu d’approfondir les liens entre les deux pays dans leur premier entretien téléphonique depuis la prestation de serment de l’élu démocrate à la présidence américaine. Les deux dirigeants ont prévu l’alliance entre les deux Nations. Toutefois, Joe Biden a exprimé son intention de renforcer la relation particulière qui lie les deux pays, sa priorité est de combattre la pandémie Coronavirus, lutter contre le changement climatique et assurer la sécurité sanitaire du monde.
Les deux autorités semblent être attachés à améliorer leurs relations après que le président Démocrate avait décrit Boris Johnson en décembre comme ” Clone de Donald Trump “
Après Boris Johnson, le président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador à son tour reçu un appel du nouveau chef de la Maison Blanche.
Emmanuel Macron est le deuxième chef d’État Européen ayant reçu l’appel dimanche soir du président Américain, Joe Biden. Macron et Biden se sont entretenus pendant environ une heure, sur les grands dossiers internationaux, en particulier pour lutter contre COVID19 et sur le climat après le retour des États-Unis dans l’accord de Paris. Les deux présidents ont constaté une grande convergence de vue sur les enjeux multilatéraux.